de Mathias ENARD
Babel, février 2013
Après avoir découvert les beautés de la Crète dans ma dernière lecture, me voici plonger dans la Turquie du XVI ° siècle et plus exactement à Constantinople en 1506.J'y découvre que Michel-Ange y a séjourné sur l'invitation du sultan Bajazet afin d'y réalisé un pont sur la Corne d'Or. Ce dernier avait déjà missionné le grand Léonard de Vinci pour cet ouvrage mais aurait refusé son offre.
On plonge dans le monde ottoman avec ses musiques, ses danses, ses ambiances feutrées et on hume le narguilé, on se laisse envoûter par les danseurs et danseuses; comme Michel-Ange qui tombera sous le charme de l'une d'entre elles. Et on oublie Rome, son Pape, ses exigenges, sa religion ( pas trop quand même...)
Pour ma part, et pour beaucoup j'imagnie, j'associe Michel-Ange à la chapelle Sixtine et à toutes les belles oeuvres qu'il a pû réaliser et visibles en partie en Italie. J'ignorai complétement son passage à Constantinople, l'auteur s'est basé sur des faits réels et ayant existés. C'est une lecture dépaysante mais qui intéressera surtout ceux et celles qui aiment l'Art et en particulier l'Art italien.
Note:3