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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 17:00

de Metin ARDITI

Actes sud, janvier 2006  

 

  La Pension Marguerite    La Pension Marguerite

 

27 septembre, Paris. Aldo, grand soliste de renom doit donné un concert ce même jour, ici,  à Paris. Il en avait fait de même il  y a  trois ans, même lieu, même endroit, sauf que le succès n'avait pas été là. Aujourd'hui, il espère que cette "journée s'annonçait pareille à beaucoup d'autres.Elle serait menée avec maîtrise.[...], et enfin un concert qu'il exécuterait de façon parfaite."

Ce roman démarre donc le matin à 8h, Aldo prend son petit déjeuner, dans son hôtel, le groom lui dépose les journaux, les critiques sont à priori bonnes. Tout s'annonce sous les meilleures hospices, cependant....Le groom resonne, avec à la main une grosse enveloppe..."-Pardonnez-moi, maître, je n'arrivais pas à la glisser sous la porte. Alors, j'ai sonné."

Qu'elle est cette lettre? Sans destinataire. Il y a bien le nom d'un certain médecin au recto, à la place de l'expéditeur...Encore un médecin à la retraite qui lui aura écrit un concert pour violon en pensant qu'il s'agit d'un chef-d'oeuvre. Aldo, n'y prête plus attention jette le pli dans un coup et poursuit son petit-déjeuner....mais très vite il y revient, la curiosité est plus forte et une certaine crainte commence à se faire sentir....

Aldo finira par ouvrir cet étrange courrier, la journée lentement s'écoule, les heures-chapitres passent les uns après les autres. A 21h, dernier chapitre, le concert se termine, la lecture de ces lettres, car il s'agit bien de lettres, laissées par sa mère à son intention, est elle aussi terminée; la fin en est surprenante, voire un peu dérangeante. Cependant belle plume et belle histoire autour des passions dévorantes, dont la musique.

 

Note: 4

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commentaires

Y
<br /> Bonjour,<br /> <br /> Moi ma passion dévorante c'est le bike, mais après mes enfants et ma tendre épouse ...<br /> <br /> <br />
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